Nas et Lauryn Hill reviennent ensemble 25 après ! Les deux artistes ont été à l’origine de l’une des plus belles ballades du Rap : “If I ruled the world” !
Quand Nas et Lauryn Hill régnaient sur le monde !
A la fin des années 90′, tandis que le rap français balbutie encore, le rap américain connaît un certain âge d’or. Il y a Nas d’abord, le rappeur de Queens Bridge, qui révolutionne le rap avec “Illmatic”. Bien entendu, il y a aussi les Fugees avec Lauryn Hill, Pras, et Wyclef Jean. Leur premier album “The Score” est un classique absolu. Dans cet opus se tient l’hymne des réfugiés “Fugee La” qui restera gravé dans le marbre. Après “If I ruled the Word” Lauryn Hill et Nas reviennent.
Dans “If I ruled the World“, Nas se met dans la peau du maître du monde. Avec des retour sur les discriminations, les inégalités raciales et sociales, Nas refait le monde accompagné de la voix envoutante d’une Lauryn Hill à deux doigts de lâcher l’un des plus gros classique du rap américain “The misseducation Of Lauryn Hil“. Le titre sera un succès absolu. Nas et Lauryn Hill reviennent ensemble 25 après.
Nas et Lauryn Hill reviennent ensemble 25 après !
Apparemment, l’opus “King’s Disease 2” qui fait suite au premier volet récompensé d’un grammy en 2020 sera aussi un classique. Par ailleurs, le rappeur vient de réaliser un énorme featuring avec Jay-Z. Dans son album, Nas moins boom bap qu’à l’accoutumé donne même la réplique à un certain Eminem pour la première fois dans “EPMD 2” en compagnie du groupe légendaire. Le couplet de Eminem est par ailleurs envoutant. Le Kid de Détroit suspend le temps avec son Flow électrique. Après “If I ruled the Word“ Lauryn Hill et Nas reviennent.
Sur “Nobody”, Lauryn Hill ne réserve pas pour un refrain chanté. Elle gère tout le deuxième couplet en rappant comme jamais. C’est presque un hommage à une femme artiste pionnière avec des artistes féminines comme Mary J Blige ou encore Faith Evans. Le titre n’a plus rien à voir avec les espoirs suscités dans les années 90′. L’œuvre de Nas devient plus noir qu’à l’époque de “I can” mais le rappeur de Queen’s Bridge ne perd pas espoir.