Fear Street est un hommage au film d’horreur des 90′ ! La trilogie a commencé le 7 juillet sur Netflix avec la première partie 1994. Ce premier volet est une illustration de ce qu’a été le film d’horreur tout au long des 90′.
Fear Streets est tiré d’une série d’horreur
Fear Street est tiré de l’œuvre de R.L. Stine. L’auteur a eu une bibliographie abondante au cours de la décennie 90′. En réalité, il est surtout connu pour avoir rédiger les livres “Chair de poule“. Comme “Twilight” ou la saga Harry Potter, Fear Streets s’adresse avant tout à un public de Teenagers.
C’est un teenage horror movie assez banal. En effet, tout au long de la décennie 90′ entre “Scream“, “Souviens toi l’été dernier“, et dans une moindre mesure “The Blair Witch Projet“, ce genre a fait école en son temps. Fear Street est typique d’un film des années 90′.
Le pitch limite caricatural décrit l’histoire de la ville de Shadyside. Frappée par une malédiction, Shadyside a enfanté une série de psychopathe depuis la fin du XVII siècle. C’est en 1994 que la malédiction frappe encore. Fear Street est un hommage au film d’horreur des 90′ !
Fear Street est un hommage au film d’horreur des 90′ !
Les premières minutes du film annoncent la couleur d’office. Fear Street rend d’abord hommage à Scream de Wes Craven qui a révolutionné le film d’horreur. Le tueur reprend carrément le même masque. Même dans le choix de la bande de héros, entre le geek, la pom pom girl populaire, la fille tourmentée, Leigh Janiak se réapproprie l’archétype des films d’horreur des 90′. Fear Street est typique d’un film des années 90′.
Et ce n’est pas la première fois qu’un exercice de style de ce genre a lieu sur Netflix. En effet, Stranger Things par exemple est avant un tout un hommage aux 80′. La bande sonore du long métrage aussi avec ses références appuyées à la culture des 90′ est un délice.
Si Fear Streets est un film de genre sans grande ambition, il se réapproprie le style des teenage movie des 90′ avec un côté trash indéniable en plus. Peut être qu’il remet “Scream” dans l’air du temps.