Ibrahim Godin commence sa carrière sur les réseaux sociaux sur Facebook. A l’époque, le réseau sociaux de Mark Zukerberg est le plus efficace. Il règne hégémonique sur le web 2.0. En introduisant des vidéos sur des pages et des groupes Facebook, l’influenceur obtient la reconnaissance nécessaire pour commencer sa carrière sur Snapchat, un réseau naissant. Il enchaîne les vidéos humoristique avec près de 600 000 vues à la clé. Puis un jour en pleine révolution #MeToo c’est le drame :
“J’ai été victime de diffamation sur les réseaux sociaux, à travers de fausses conversations pour nuire à mon image. Cette mésaventure, ma énormément impacté j’ai perdu 5000 followers en une seule après-midi. La police a fais supprimé la publication pour diffamation quelques heures après ça diffusion. Les côtés positifs de cette histoire, les gens qui me connaissez pas m’ont ajouté sur Snapchat suite à cette histoire et on finalement apprécié mon contenu. Cela m’a permis de prendre plus de 30 000 abonnés en deux jours“
A ce moment là, Ibrahim Godin comprend les dangers des réseaux sociaux : “Suite à cela je suis parti déposer plainte pour diffamations/cyber harcèlement au commissariat le plus proche. La plainte est toujours en cours. Mes avocats s’occupe de tout ça. Je laisse la justice faire son travail.“
Ibrahim Godin se rappelle encore de ces débuts alors qu’il était encore un jeune entrepreneur. Il le laisse entendre en Interview, il fait plus ça par passion que pour l’argent : “Être influenceurs sur les réseaux sociaux oui cela permet de gagner de l’argent mais très peu arrive à en vivre. J’ai déjà gagné de très grosse sommes mais le salaire n’est pas fixe chaque mois. Partager du contenu sur les réseaux sociaux avant tout par plaisir et non pas pour l’argent car sinon ça ne marchera pas.”
Ibrahim Godin est l’exemple vivant de tous les influenceurs à la fois maître et victime des réseaux qu’il gère.