Née le 13 octobre 1999 à Poissy, Tysha’a, de son vrai nom Laëticia François, est la première signature du label Rubson Records. D’origine martinico-guadeloupéenne, cette jeune chanteuse prometteuse mêle influences traditionnelles et modernes pour offrir une musique riche en émotions et en authenticité.
Une enfance rythmée par la musique et les traditions
Tysha’a est bien plus qu’une simple chanteuse. Elle incarne une nouvelle génération d’artistes qui savent rester fidèles à elles-mêmes tout en explorant de nouveaux horizons. Une étoile montante à suivre de très près.
« Avec ce titre, j’ai voulu revenir à mes racines et montrer une autre facette de moi. Le zouk, c’est plus qu’un style, c’est une émotion. » Tysha’a est bien plus qu’une simple chanteuse. Elle incarne une nouvelle génération d’artistes qui savent rester fidèles à elles-mêmes tout en explorant de nouveaux horizons. Une étoile montante à suivre de très près.
« La peinture est devenue une échappatoire et un moyen d’explorer mon côté créatif différemment. « Avec ce titre, j’ai voulu revenir à mes racines et montrer une autre facette de moi. Le zouk, c’est plus qu’un style, c’est une émotion. »
« J’ai commencé à chanter très jeune en Guadeloupe, et c’est là que j’ai vraiment compris à quel point la musique fait partie de moi. Le Gwoka, une danse et musique traditionnelle, a également été une expérience qui m’a profondément ancrée dans ma culture. »
« La peinture est devenue une échappatoire et un moyen d’explorer mon côté créatif différemment. »
Cette dualité entre musique et art visuel reflète la profondeur de son univers artistique, qu’elle continue à enrichir au fil de ses expériences.
Une ascension prometteuse chez Rubson Records
En janvier 2024, Tysha’a signe son premier contrat avec Rubson Records. Dès juillet, elle dévoile son premier single, “Bye Bae”, une chanson rythmée et moderne qui marque ses débuts. Mais c’est avec son second single, “À quoi ça sert”, sorti en novembre, qu’elle affirme pleinement son identité musicale.
Produit par Joel Berlando et écrit par Rubbi Youla, ce titre revient aux sonorités zouk, mêlant douceur et sincérité. Avec une mélodie enveloppante et des paroles introspectives sur l’amour, Tysha’a se démarque dans un paysage musical dominé par l’urbain.
« Avec ce titre, j’ai voulu revenir à mes racines et montrer une autre facette de moi. Le zouk, c’est plus qu’un style, c’est une émotion. »
Une artiste en marge des tendances actuelles
À une époque où la musique urbaine domine, Tysha’a fait le pari audacieux de proposer un style plus classique et intemporel, à l’image d’artistes comme Kim, qui ont marqué les années précédentes. Cette démarche assumée illustre son désir de rester fidèle à ses influences et à ses racines.
Un avenir plein de promesses
Avec sa voix douce et ses mélodies sincères, Tysha’a ne cesse de séduire un public en quête de musicalité et d’authenticité. Soutenue par Rubson Records, elle semble prête à conquérir la scène musicale avec des projets qui allient émotion, créativité et enracinement culturel.